Vieille baraque tenant par l’usage d’une dizaines de sortilèges, elle attire toujours les curieux, les imbéciles se donnant le défi d’aller toucher la porte. Un long chemin mène à la cabane faite de bois. Les pièces s’emmêlent. Plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur. Un piano désaccordé au salon. Elle attire pour les rumeurs, pour ces hurlements qui font échos au soir de pleine lune.

Le train s’avance, panache de fumée craché à ces petites vies attendant le retour vers la capitale. D’une envergure moindre, tellement petite que les voyageurs s’entassent les uns sur les autres. La gare ne connaît d’affluence qu’en période de rentrée scolaire et de vacances. Ici passent les élèves de Poudlard et quelques voyageurs venus s’égarer pour plusieurs jours dans le village sorcier.